«J’ai d’abord hésité. J’avais des inquiétudes sur le plan financier… Puis j’ai passé à l’action, le 11 janvier 2004. Il est trop tôt pour tirer un bilan, mais la clientèle a changé. Elle est moins nombreuse le matin, des travailleurs en pause café-cigarette ne sont plus revenus. En revanche, j’ai d’avantage de clients l’après-midi, des touristes, des familles, etc. Je reçois beaucoup de félicitations, de gens qui me disent: «un bistrot sans fumée, on attendait que ça!» Artisan boulanger-pâtissier, Benoît Provins apprécie également que la chantilly sur les gâteaux n’ait plus un arrière-goût de fumée!
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